• Accompagner des structures engagées en faveur de l’humain : entreprises, associations, ONG (Organisation Non Gouvernementale), fondations, mutuelles, coopératives, collectivités.

• Intervenir dans l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) pour garantir la dignité et le respect de tous.
  Les leviers d’action : la cohésion sociale, l’économie, l’éducation, l’environnement, la santé.

La cohésion sociale permet le bien-être de tous les individus grâce à l’accès équitable aux ressources, la prise en considération des diversités et l’engagement collectif. Elle tend à réduire les inégalités si elle s’appuie sur l’égalité des chances et des genres ; le combat contre toutes les discriminations – exclusion, intolérance, préjugés, racisme – ; les droits des enfants, des femmes et des minorités ; l’émancipation ; l’inclusion de tous – accessibilité à la justice, au logement, aux loisirs, aux services publics, insertion professionnelle, lutte contre la fracture numérique, prise en compte du handicap, réinsertion des personnes fragiles et en difficulté – ; la sécurité des biens et des personnes. Elle doit également (re)donner confiance envers les institutions.

L’économie est un moyen de maintenir cette entente collective avec une approche égalitaire et solidaire du travail – rémunération adéquate, parité, dialogue social, création d’emplois, réduction du chômage – ; une consommation raisonnée ; un développement économique des territoires et de leur attractivité, notamment, en termes de mobilité ; une économie circulaire ; un positionnement des entreprises selon les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance), une démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises), des ISR (Investissement Socialement Responsable) ; une revalorisation des quartiers défavorisés.

L’éducation est le troisième levier. Elle encourage la stabilité sociale et la croissance économique. C’est un puissant facteur de changement, qui permet d’accéder à la connaissance, à l’information et à la culture. Elle ouvre le champ des possibles. On ne parle pas uniquement de scolarité. Il faut l’envisager au sens plus large ; la formation se fait à tout âge. L’instruction représente l’accès à la citoyenneté et contribue ainsi au maintien de la démocratie. L’éducation favorise, entre autres, la réduction de la pauvreté, l’égalité des sexes et la progression de la paix.
Eduquer les générations futures pour devenir des citoyens engagés est donc un enjeu fort pour l’ESS (Economie Sociale et Solidaire).

L’environnement est l’autre pilier de notre cadre de vie. Cela comprend le développement durable et l’écologie, le logement avec la rénovation de l’habitat, la lutte contre le gaspillage alimentaire, le recyclage et le reconditionnement des objets, le respect de la nature et de la biodiversité, la transition énergétique et les énergies renouvelables, l’utilisation des matériaux durables.

Enfin, la santé joue un rôle primordial dans la qualité de vie. Comme tous les autres volets, elle participe à la protection des personnes et des biens. Elle passe par l’accès aux soins, l’accompagnement des seniors et la fin de vie, l’alimentation, le sport. Elle stimule la prospérité : une société prospère est une société qui va bien.

Tous ces leviers sont actionnables indépendamment ou conjointement.

Le + : expertise en communication publique qui s’adresse à l’ensemble de la population, comme l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) et ses multiples domaines d’intervention.